Dans le cadre du 4e plan cancer (PC3), la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé en mars que 40% des malades du cancer auront recours à des thérapies innovantes contre le cancer d’ici 2025. Le gouvernement a ainsi mis en place un Comité de pilotage pour évaluer ces nouvelles thérapies.
Comme l’a souligné le Dr Jean-Jacques Zamboni, coordonnateur du réseau d’oncologie thoracique du CHU de Nantes, lors d’un point de presse organisé au CHU jeudi 13 avril, la première réunion de ce Comité de pilotage a permis de « dresser un état des lieux de la prise en charge du cancer en France et de définir les principales orientations du Plan Cancer ».
« On va travailler sur des modalités de prise en charge de la maladie, avec des modalités d’intervention différentes et adaptées à chaque patient », a souligné la ministre. Les deux premières réunions du Comité de pilotage ont été consacrées aux « nouvelles thérapies anticancéreuses » et aux « nouvelles modalités de prise en charge ».
En ce qui concerne les nouvelles modalités de prise en charge du cancer, la ministre a rappelé que « pour la plupart des traitements oncologiques, les patients ne sont plus les patients habituels ». Les équipes médicales et les patients doivent donc « développer de nouveaux modes de prise en charge et de nouvelles modalités d’accompagnement ».
« Les patients vont devoir se réapproprier leur parcours de soin, en passant de la case « hospitalisation » à la case « consultation », a précisé la ministre. Il faut donc travailler sur ce qui fait la particularité du parcours de soins du patient et du suivi des malades. »
Deuxième objectif : améliorer la qualité de vie des patients
« Le 4e Plan cancer a pour objectif de mieux prendre en charge les malades, de mieux les accompagner et de les orienter vers les soins les plus adaptés », a rappelé la ministre. Le comité de pilotage a donc aussi été l’occasion de « faire le point sur la prise en charge du cancer en France ».
« Il faut améliorer la qualité de vie des malades. Le 4e Plan Cancer a pour objectif de mieux prendre en charge les malades, de mieux les accompagner et de les orienter vers les soins les plus adaptés », a indiqué la ministre.
En effet, « nous devons adapter la prise en charge de la maladie à chaque patient, en prenant en compte ses spécificités ».
Selon le Dr Zamboni, « les patients qui ont recours à des traitements lourds et qui ont de fortes chances de mourir » doivent être suivis « au long cours, et ce de manière régulière ». « On doit tenir compte du fait que les traitements sont plus lourds que par le passé », a-t-il précisé.
Selon le Dr Zamboni, « les patients qui ont des traitements lourds et qui ont de fortes chances de mourir doivent être suivis de manière régulière ».
Concernant les traitements lourds comme la radiothérapie, « on doit pouvoir les adapter au type de cancer et au degré de la maladie », a poursuivi le Dr Zamboni. « Il est important d’avoir un suivi au long cours, avec une évaluation régulière du traitement et une modification éventuelle des modalités de la prise en charge si nécessaire.
« Cela permettra de s’adapter à la maladie, de suivre les progrès thérapeutiques et d’éviter la récidive du cancer », a-t-il conclu.
Pour le Dr Zamboni, « le suivi doit être régulier » et « la surveillance doit être adaptée au cancer et au patient ». « Le médecin va pouvoir adapter le suivi à la situation de chaque patient et tenir compte des progrès thérapeutiques et des avancées scientifiques », a-t-il précisé.
Un troisième objectif : développer de nouvelles formes d’immunothérapie
« Le 4e Plan cancer a pour objectif de développer de nouvelles formes d’immunothérapie, comme la thérapie génique », a indiqué la ministre. « Nous allons également développer la prise en charge de nouvelles formes de tumeurs ».
« Il est essentiel de développer la prise en charge de la maladie », a ajouté la ministre. « Le 4e Plan Cancer a pour objectif de développer de nouvelles formes d’immunothérapie, comme la thérapie génique », a indiqué la ministre.
« Nous allons développer la prise en charge de nouvelles formes de tumeurs », a ajouté Marisol Touraine.
« Il est essentiel de développer la prise en charge de la maladie », a ajouté Marisol Touraine.
Pour le Dr Zamboni, « la thérapie génique doit permettre de traiter des tumeurs qui ne sont pas curables actuellement », a-t-il ajouté. « Cela peut être par exemple des tumeurs du foie ou du rein ».
« L’objectif est de traiter des tumeurs qui ne sont pas curables actuellement », a précisé le Dr Zamboni.
Un quatrième objectif : développer la recherche clinique et médicale
« Le 4e Plan Cancer a pour objectif de développer la recherche clinique et médicale », a précisé la ministre.
« Nous allons développer la recherche clinique et médicale », a ajouté Marisol Touraine.
Le Dr Zamboni a rappelé que la recherche sur les cancers du poumon s’est « beaucoup développée ces dernières années » et « les progrès dans la prise en charge des patients ont été nombreux », a-t-il ajouté. « Nous allons développer la recherche sur les cancers du poumon ».
« Le 4e Plan Cancer a pour objectif de développer la recherche sur les cancers du poumon », a souligné le Dr Zamboni. « Nous allons développer la recherche sur les cancers du poumon », a ajouté le Dr Zamboni. « Le 4e Plan Cancer a pour objectif de développer la recherche sur les cancers du poumon ».
« Le 4e Plan Cancer a pour objectif de développer la recherche sur les cancers du poumon », a ajouté le Dr Zamboni.
Chez les patients avec insuffisance hépatique sévère
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